Région du Sud-Ouest : Ousséni COMPAORE porteur d'un message d’apaisement.
A Diebougou, le ministre de la sécurité a rencontré les autorités provinciales,locales,les forces de sécurité intérieure (FSI) ainsi que le chef de Canton. A l’occasion , il les a ,tour à tour, félicité pour la dextérité dont ils ont su faire montre dans la gestion d'une crise qui a opposé les populations autochtones à des étrangers sur un site aurifère de la province. Il a exhorté les différents acteurs qui se sont investis dans la résolution du différend à s’impliquer d'avantage pour un apaisement diligent de cet impondérable absolument préjudiciable à la cohésion sociale de la province.
Dans la même veine, à Obirè dans la commune de Lorépéni dans le Poni ,Ousséni COMPAORE a échangé de prime abord avec le Roi Gan avant d'aller à la rencontre des pasteurs de la localité .
Avec ces deux parties, Il a prôné la paix et la cohésion sociale. Il n’a pas manqué de témoigner sa gratitudes au Roi Gan ainsi qu'aux pasteurs pour leur maturité dans la gestion de la crise ressente qui les a opposé.
A Gaoua, le ministre de la sécurité a rencontré les personnels de la Direction Régionale de la Police Nationale du Sud-Ouest et ceux du Groupement de Gendarmerie avec lesquels il a eu des échanges francs et à bâton rompu .Plusieurs doléances ont été ,à l'occasion, transmises au premier responsable de la sécurité qui s’est montré ouvert et favorable à la résolution diligente des contraintes exprimées. Promesse a été faite de travailler avec les premiers responsables de la Police et de la Gendarmerie nationales afin de trouver, le plutôt possible, des réponses appropriées à cette série de doléances.
«Je termine ma tournée dans cette région par la visite de mes hommes avec qui je travaille en permanence. J'ai saisi l’occasion pour les féliciter et les encourager pour le noble travail abattu sur le terrain. Je les félicite pour le travail abattu à la perfection, au détriment souvent de leur propre personne et ce malgré les moyens limités. Cela est admirable. Concernant les problèmes posés par les FSI, je reconnais qu’ils sont réels. Nous allons travailler avec leurs chefs à Ouagadougou et dans la disponibilité des ressources nous allons trouver des réponses.
Pour ce qui est des zones conflictuelles, le message d’apaisement est entendu et le retour est positif. Nous vous rassurons qu’à l’heure actuelle, nous n’avons plus besoin de nous inquiéter » a rassuré Ousséni Compaoré à la presse régionale.
Direction de la Communication et de la Presse Ministérielle/ sécurité
